FÊTE DU CINÉMA FRANÇAIS

L'histoire de ce « libertin naïf » est filmée avec une facilité surprenante dans son approche du désir féminin et de la sexualité, motif déjà extraordinaire dans le roman du même nom de 1909, de Sidonie-Gabrielle Colette. Bertrand Tavernier note combien Audry faisait alors frissonner, avec un maximum d'élégance et un minimum de pudeur, usant d'une « sorte de façade sucrée », c'est-à-dire « se déguisant derrière les charmes de la Belle Époque, des coulisses très élégantes, avec un côté très élégant ». garde-robe sophistiquée.

[Texte fourni par Cinemateca Portuguesa]